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Tangopostale 2025 : de la danse et du soleil

Ce dimanche 6 juillet s’est achevée la 16e édition de Tangopostale, le festival international de tango !

On pouvait retrouver une programmation culturelle aux quatre coins du centre de Toulouse, de Saint-Cyprien à la salle Osète. Y avez-vous fait un tour ? Y retournerez-vous l’an prochain ? Revenons sur certains éléments du programme pour vous donner l’eau à la bouche si vous l’avez manqué…

La place Saint-Pierre comme point névralgique

Le centre névralgique du festival se situait sur la place Saint-Pierre, où se tenait l’Eterna Milonga : une scène de danse tango traditionnelle ouverte toute la semaine, de 16h à 23h, à l’abri du soleil mais pas des étoiles. Celle-ci était souvent précédée d’un cour d’initiation avec les professeurs de l’école Tanguendo. Et puis, pour peu que vous ayez choisi de descendre les escaliers vers les quais de la Garonne, vous pouviez découvrir les événements NeoGaronne. La musique était dirigée par plusieurs DJ bénévoles, avec une ambiance plus contemporaine mais aussi légère, sans prise de tête, et l’on prenait bien du plaisir à alterner d’une scène à l’autre selon nos envies du moment.

Quand tango et patrimoine valsent ensemble

Difficile de ne pas parler non plus des quatre balades Tango & Patrimoine, qui alternaient promenades à travers les rues de Toulouse et haltes dansées. Si la première partait de Compans-Caffarelli et la seconde du métro Esquirol, c’est bien aux Abattoirs et au jardin Raymond VI que la troisième se consacrait. Elle a fait le tour du quartier Saint-Cyprien, avec un passage par le dôme de la Grave, la passerelle de la Viguerie et la Chapelle San Subra. D’ailleurs, c’est à la Salle San Subra qu’a eu lieu ce samedi 5 juillet le stage “Filmer le tango avec un smartphone”, pour apprendre à enregistrer au mieux la danse argentine en mettant en lumière son dynamisme et sa fluidité.

Ce sont, entre autres concerts, les DJ Martin Lionti, Andrés Ciafardini et Anna Deum, l’orchestre Color Tango, l’orchestre-école Tanguendo et l’exceptionnel duo Eve Laura Madar & Santiago Giachello qui ont achevé le festival au Mas Tolosa, avec une après-midi et soirée entière de représentations passionnées.

Encore envie de danser ?

Mais si vous en voulez encore, pourquoi ne pas faire un tour à l’Auditorium Saint-Pierre-des-Cuisines ce mardi 8 juillet à 21h ? L’occasion de voir le violoncelliste Henri Demarquette et le guitariste Philippe Mouratoglou interpréter des pièces musicales importantes de l’Histoire de l’Amérique du Sud, entre Piazzolla et Gardel…

 

Rendez-vous en 2026 pour la 17e édition ?

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